Etta et Otto (et Russell et James)
Un roman sur le temps qui passe, les souvenirs qu’on en garde et la réalité qui nous rattrape trop souvent.
Un roman sur le temps qui passe, les souvenirs qu’on en garde et la réalité qui nous rattrape trop souvent.
À lire pour l’écriture magnifique, pour la conscientisation et pour l’espoir.
Encore une fois, Audur Ava Ólafsdóttir charme par la plume à la fois sensible et terriblement drôle.
Une lecture incroyable qui fait un bien immense à l’âme du lecteur qui entame cette merveilleuse fable!
Un livre que vous terminerez le sourire aux lèvres en ayant envie d’aller prendre un café avec tous les personnages!
Un roman doucement enrobé de mots bien choisis, de phrases qui coulent et qui nous portent à tourner la page pour connaître la suite.
Parce que parfois nous avons besoin d’un peu d’espoir en l’humanité, ce livre devrait être posé sur toutes les tables de chevet et lu avec tendresse.
La célèbre auteure de Mange, prie, aime vendu à 10 millions d’exemplaire dans plus de trente pays nous arrive avec un nouveau roman!
Parce que ce roman met en scène une expérience qui est commune à tous les humains, personne ne peut demeurer y insensible.
Ce roman noir humoristique est tellement grotesque qu’on fini par rire de ces meurtres absurdes.
Un roman qui fera naître un bien-être immense, tout en douceur en laissant derrière lui un délicat parfum de rose.
L’écriture émouvante de Véronique Ovaldé met en scène le personnage d’une jeune fille à la pureté déstabilisante.
Un roman captivant, surprenant d’un chapitre à l’autre et avec un petit quelque chose d’irrévérencieux.
Avec Perdre le nord, Kathy Reichs prouve encore une fois qu’elle maîtrise l’art de nous tenir en haleine avec une histoire qu’on a hâte d’élucider.
Avec La grâce des brigands, Véronique Ovaldé vient définitivement de me confirmer pourquoi elle fait partie de mes auteures préférées.
Un livre d’une grande sensibilité qu’il fait bon lire et où les silences ont toute leur importance.
Le suicide, ce n’est pas drôle. Mais essayons d’en rire un peu, juste pour voir avec le Magasin des suicides…
Exercice de style particulièrement efficace de la part d’Angot. Promis, je ne relis JAMAIS ce livre.
Au fil des pages, on s’attache à ce petit garçon naïf qui découvre l’amour pour la première fois, on a envie de brasser sa mère si méchante ou plutôt de la prendre dans nos bras pour la guérir de sa détresse mentale si prononcée.
Plus jamais je ne pourrai voir un cerf-volant sans penser à Amir, Hassan et Sohrab.
J’ai lu les premières phrases de Purge, pas la quatrième de couverture. Et j’ai eu envie de continuer. De ne pas arrêter.
Anna Gavalda a dit, au sujet du Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, que ce roman était «Absolument délicieux». Mes attentes étaient élevées.
Un roman bouleversant où l’existence des livres prend tout son sens!